theendlessknot

putting thoughts into words regarding the entangled state of mind which is my existence


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L’Éclair du Obturateur

flash

Je me sens heureux, à cause du lapin, qu’il m’a attiré pendant le jour naissait et beaucoup des feuilles tombés sont parties du balcon, qui débouchaient l’air chez-moi. Il m’a dit:

<<quelque fois, les gens ne comprennent les effets des leurs actions, avant qu’il est déjà tard.>>

Alors, pendant qu’ils se peignent la poussière et la peinture fondue autour du bois, la gravure apparaîtra toujours comme l’artiste qui l’a fait.

C’est vrai, qu’on ne peut pas se cacher au monde. Nos modèles dont nous déterminons, ils changent – on émeut des temps en temps par une sourire, ou une envie pour le premier rôle – mais personne ne peut pas la enlever le destin du Monsieur Dorian Gray, qui regarde son portrait et voit que sa jeunesse s’estompe, se froisser.

La beauté de la vie est quelque chose plein du désarroi. Je sais maintenant que je ne voudrais pas un autre fois, un autre endroit à prendre un photo de ma vie. Parce qu’il n’existe pas là – il n’existe qu’ici. Ma figure vieillira, mais les souvenirs toujours restes le même. Ils sont l’éclair du obturateur.


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Je saurais maintenant
Pas de temps reste encore qui m’étonner
Mais je n’aurais jamais pensé
De la façon il continue à passer

Qu’est-ce que vous vous souvenez de la enfance?
Ait-il vous donner une peinture grise
Qui se cache dans un village au loin
Ou le donne un nuage plein
Avant qu’il éclate par votre sourire

Moi, j’espère trouver la raison encore
Pour soutenir la force de vivre comme un enfant
Et échange la fièvre pour ce que peut me satisfait
Qui me serai rendu enfin un adulte


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La Course

Une partie de ma vie a fini
Le prèmiere maison s’est émiettié
Je me cherche pour trouver un autre

C’est la premiere fois qu’il s’est passé
Ma histoire a debuté
J’étais tard au départ
Mais je courais avec le cœur du lion
Ses mains ont tourné au gauche
Et m’a frappé à la ligne de fronte

Ensuite, sautait le lotus blanc
Qui me regardait et s’interessait à la thé
Peut-être ce dont j’ai était le visage faché
À cause de la brouille de mes yeux
Qui suivent la Rue Morgue
Et n’est jamais arrivés à la fin
Où, bien sur, vit le destin
Il viendrait le combien?
“Je sais que je ne sais rien”


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Le Bruit

J’écoute le bruit de la forêt

Qu’est-ce qui se passe?

Je vois le soleil qui saigne
Tout avait l’air du silence
Les arbres avaient été dormir
Dessous le choc collectif des animaux
Qui craignent du bruit mystérieux
Il crisse comme un cauchemar
Quand l’histoire se termine
Et personne ne comprend

Qu’est-ce qui se passe?

Parce-qu’on se réveille trop tôt

Ainsi, je cours à la maison
La maison de la peur
Où il m’attend encore
Je sais que mon destin ne bougera pas
Mais je le frappe avec la force
D’un soldat qui battre lui-même
Après la guerre
Ou un sans-abris
Qui reconnaît qu’il n’a nulle part où aller

Alors le bruit qui tombe
Autour de la forêt
Il n’arrête jamais
C’est le cri de la raison
Qui personne ne peut pas éteindre
“Depuis le jour qu’il tout dévale”
Et qui se rend nos existences déraisonnables
L’air est venu sale avec le désordre
Nous avions été essayer nous protéger
Mais cela n’aide pas

“Protège-moi…“

——————————

If anyone is wondering, my poems are often inspired by song lyrics that I read from my favorite artists. I like to draw up visual images from the concepts which are spoken of. I think this poem captures the feeling of the song, but

I’d love some feedback/corrections if anyone has them!

Here are some of the lyrics in the song, “Protège-moi,“ by Placebo:

“C’est le malaise du moment
L’épidémie qui s’étend
La fête est finie on descend
Les pensées qui glacent la raison
Paupières baissées, visage gris
Surgissent les fantômes de notre lit
On ouvre le loquet de la grille
Du taudis qu’on appelle maison”

“Sommes nous les jouets du destin
Souviens toi des moments divins
Planants, éclatés au matin
Et maintenant nous sommes tout seuls
Perdus les rêves de s’aimer
Le temps où on avait rien fait
Il nous reste toute une vie pour pleurer
Et maintenant nous sommes tout seuls”

You can listen to it here.


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Il y a un immeuble caché

Où on peut rencontre la peur
Il saute à travers des fenêtres
Qui descende comme un glaçon
Les voisins ne la verront jamais
Ils savent qu’il subsiste
Mais ils ne la trouveraient jamais
Elle escroquât les gens leur pain du jour
Comment elle nous piquons
Et fait démanger notre modèles
“Sans espoir et sans regret“
Dehors de la sensibilité parfait
Où nous souhaitassions naître
Dans un rêve, notre confortable sommeil
Est-ce que vouz rappelez la raison
La raison d’être de la peur
Je voudrais y décrire
Mais elle chuchote
Chaque mot tombe au loin
Et atterrit autour du porche
Il a coincé à la arrière
De mon esprit
Alors, je ne comprends aucune qu’elle me dit
Mais vous devez essayer me croire
Quand je vous previens
Elle déménage toujours
Et elle ne reste place
N’importe pas laquelle personne


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Notre temps a terminé

Les jours sont comme années
Quand je ne suis pas avec toi
Comme les oiseaux chaque matin qui ce parleraient
Quand je ne suis pas avec toi

J’étais s’asseoir dehors et j’écoutais du vent
Qui chantait une triste chanson qui n’a pas un fin ou une commencement
Je te pense et mon esprit souffre beaucoup
“Comment tu m’es quitté?” “Je suis maintenant seul à cause de tu.“

Ma cœur ne comprend pas quoi j’ai dit ou quoi j’ai fait
Je n’ai jamais voulu te blesser
Peut-être c’est me destin qui me roucoule
“Vous serez repoussés, jusqu’à vous êtes practiquement nul.”

Tout nous avons eu, c’a diminué
Quand je te vois, je ne peux pas m’exprimer
C’est difficile croire que c’est fini maintenant
Tellement rapide et c’a terminé, notre temps